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#People
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RENCONTRE : LIONEL LEMONCHOIS, MARIN DOUÉ TRÈS DISCRET D'A
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Lionel Lemonchois est un homme très réservé, qui aime garder bien à partir des lumières et des appareils-photo
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Pourtant peu de capitaines ont un disque de emballage si somptueux. Tellement juste quelques semaines dès le début de l'itinéraire du Rhum, il était trop bonne manquer l'occasion d'aller rencontrer ce marin exceptionnel. Nous avons organisé une réunion tout simplement et en quelques heures, à bord de ses 80 ? trimaran, prince de Bretagne. Une rencontre avec un homme et son bateau.
Quand vous êtes donné un surnom, il signifie que les gens vous aiment, à moins que naturellement il ait une signification vraiment dérogatoire. Mais quand êtes-vous surnommé ? Le Bon Choix ? (le bon choix), il n'y a aucun doute du tout ! Nous mettons ? t savent exactement qui lui a donné ce surnom, mais il lui adapte bien. Était-ce Catherine Chabaud, ou AIS Autissier ? En tous cas, c'était les deux capitaines ? intuition très féminine qui a mené à eux employant successivement ce marin à partir de la Normandie, qui est aussi taciturne qu'un Breton. En tant que bateau-préparateur exceptionnel au début, il a été apprécié pour sa polyvalence et ses niveaux élevés. Catherine ? s parfait-a préparé 60 ? le monohull a accompli les circumnavigations une après l'autre, aussi régulièrement que le rouage d'horloge. Par hasard, et car le destin l'aurait, se repose-t-il maintenant chez Lorient, devant Lionel ? trimaran de s ? base de s. De son balcon de bureau, où il partage le déjeuner avec son équipe, Lionel peut voir ainsi que d'un coup d'oeil à quelle distance il est venu. Même un peu plus. De ses premières étapes sur et sous l'eau sur le bateau appartenant à son père, qui était un plongeur vif. Puis l'apprentissage essentiel dans des canots (420), qui ont tout à fait naturellement mené à la croisière, puis les premiers regattas.
Lionel est seulement heureux quand il est sur l'eau. Ainsi il a pris tout, de la charte dans Polynésie, aux regattas dans les maxis dans le méditerranéen, toujours disponible, toujours professionnel, il n'a eu aucun plan de carrière, mais a fait tout avec la passion et un désir brûlant. Mais il devait avoir une carrière. Comme singlehander, naturellement, une discipline chère au Français, et à un qui correspondent à son caractère et à sa polyvalence technique. Il était un élève infatigable, et travaillé dur à son commerce, en dépit de quelques accidents en mer et plusieurs dismastings : mini-transat, Figaro ? le marin et l'homme lui-même sont devenus plus durs. Dans les plus grands bateaux, tout à fait naturellement, par sa connaissance de ceux confiée à ses mains expertes, d'être un préparateur, il est devenu un membre d'équipage. Et car les talents attirent un un autre, les résultats ont rapidement suivi. Nous ne savons plus si Lionel est pris pour obtenir de bons résultats, ou si nous obtenons de bons résultats parce que Lionel est dans l'équipage ! Après Catherine et AIS, les capitaines supérieurs ont lutté pour ses services. Il est devenu plus d'a ? Qui ? s qui ? de l'océan français emballant qu'un disque de emballage ! Avec Karine Fauconnier, il a gagné le Transat AG2R. Avec Franck Cammas, Rue-Malo de Québec. Avec Bruno Peyron, le trophée de Jules Verne. Avec Pascal Bidegorry, Jacques Vabre Transat ! Avec la came Lewis, il ? seulement ? troisième de finition dans la course ! Tout ceci en juste cinq ans, de 2000 à 2005, si vous svp ! Le titre de ? Marin de l'année ? , attribué cette année dernière, sans aucun doute n'a jamais été plus mérité.
Il n'était donc aucune surprise que l'équipe Gitana lui a confiée avec la construction puis la responsabilité du trimaran Gitana X, avec lequel il a emballé 2002 l'itinéraire du Rhum. Mais il était avec Gitana XI qu'il a écrit à une des meilleures lignes dans son disque de emballage : une victoire brillante dans 2006 l'itinéraire du Rhum, dans la période de coup de grâce de 7 jours, de 17 heures, 19 minutes et 6 secondes, à une vitesse moyenne de plus de 19 noeuds ! Un disque qui se tient toujours, en dépit de la manie pour de plus grands et plus grands bateaux qui s'est emparé du petit monde des multihulls, puisque Franck Cammas a gagné la dernière édition à bord de Groupama 3, son trimaran de 31.5 mètres, à l'origine destiné à l'emballage autour du monde entièrement servi d'équipier ! Bien que son disque accroche par un fil confronté à la liste d'entrée pour la prochaine édition, Lionel prévoit pour mettre vers le haut un bon combat. Pour faire ceci il a établi un projet qui reflète sa personnalité : assagissez, mais efficace. Avec un commanditaire qui est juste comme lui, un groupe de coopératives agricoles avec les valeurs qui correspondent bien à ses propres. À leur demande, dans le cadre d'un budget limité, il leur a offert le meilleur rendement-coût ! Il a acheté Thomas Coville ? l'ancien trimaran de s, Sodebo, a récupéré les bras (qui sont si chers de construire), l'installation et les voiles, construites deux flotteurs et une coque centrale qu'il a rallongé… 80 pieds ! Pourquoi ? Pour avoir un bateau qui est léger (7.2t), amplifié, mais moins stressant. Le rallongement offre au bateau le nouveau potentiel vent arrière. Le bateau est coffre-fort, incroyablement sûr.
, Peut-être, mener trop sûr à la suffisance que, selon lui, le coût il sien chavirent cet hiver, outre du Brésil. Tandis qu'à cette occasion il montrait toutes les commande et présence d'esprit ce qui ont fait sa réputation, vous pouvez estimer que le trauma est encore présent, et que l'attention est appropriée. Elle lui a également coûté un mât et un plein costume des voiles, et toute l'électronique a dû être remplacée ! Mais vous pouvez également se sentir qu'il se concentre sur son but. Son équipe est forte, uni autour de la même chose visent : a ? propre ? Itinéraire du Rhum. Laissant le mod 70s derrière et étant là au cas où les bateaux plus grands mettraient ? t le font ! Chaque détail compte dans cette phase de préparation. Ainsi, en tant qu'expert, il prend un intérêt dans tout, avalent à la réalisation des joints des dômes de perspex. Doesn de confiance ? t excluent la surveillance ! Il n'élève jamais sa voix. Il devient seulement plus autoritaire quand il pense que le bateau ou l'équipement souffre inutilement. Vous pouvez estimer qu'il peut ? l'attente de t pour se trouver seul à bord, outre du cap Fréhel, quand le bout accompagnant des bateaux sont revenus, et les hélicoptères sont revenus à leur base. Il pourra entrer dans son rythme, et soit à un avec sa machine. L'affection qu'il prend pour ce bateau est évidente. Il aime sa navigation aérienne, la vitesse qu'elle laisse. Son expérience, ses conditions physiques, les protocoles établis, lui donnent la confiance complète. L'effort et l'adrénaline que seule de navigation sur des fusées comme ceci induit sont une drogue et un guide. Un rappel profondément à l'intérieur de se qu'il doit être à 100% tout le temps, pour l'exécution et pour la sûreté.
Nous le verrons à la rue Malo le 2 novembre, et aussitôt que possible en Guadeloupe, ainsi il peut nous dire au sujet de ce nouveau croisement, dans son peu d'habituel mais des mots très efficaces. Aucun doute une autre entrée très gentille dans le disque d'un des marins français les meilleurs des temps modernes.