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#Actualités du secteur
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LA MARINA DE ZOLLHAFEN ACQUIERT LE JELLYFISHBOT D'IADYS POUR SE DÉBARRASSER DE LA POLLUTION DE L'EAU
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Premier Jellyfishbot en Allemagne !
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Mayence (Allemagne), 22 mars 2022 - IADYS, start-up française innovante développant de l'Intelligence Artificielle et des produits robotiques au service de l'environnement, située en France, sur la côte méditerranéenne près de Marseille, annonce aujourd'hui une avancée majeure sur le marché allemand : la vente d'un Jellyfishbot à la Marina de Mayence Zollhafen, la première en Allemagne.
La start-up est connue pour son Jellyfishbot, un robot compact et robuste qui collecte de manière autonome ou à distance les déchets (bouteilles, canettes, emballages plastiques, mégots de cigarettes, microplastiques, particules de peinture, etc.) et les huiles à la surface des plans d'eau. Idéal pour le nettoyage des ports, des zones industrielles et touristiques, le Jellyfishbot est un outil majeur pour l'entretien et la préservation des plans d'eau. En agissant au plus près de la source de pollution, il empêche la dispersion des polluants dans les rivières, mers et océans.
Depuis sa création en 2016, IADYS n'a cessé de se développer à l'international. Une première levée de fonds en juin 2021 a permis à la société d'accélérer le processus de développement et de conforter sa position notamment sur le marché européen. Après l'ouverture d'un bureau à Cologne à la Villa France en août 2021, IADYS annonce aujourd'hui une avancée majeure : la vente de son premier Jellyfishbot sur le territoire, menée conjointement par Frédéric Stoll, ingénieur commercial, et Mariam Benarbia, Business Developer basée en Allemagne. Depuis le début de l'année, l'équipe a renforcé sa présence en multipliant les partenariats, les ventes et les initiatives par des démonstrations sur le territoire. La startup s'implique dans différents projets locaux et supranationaux tels que les Décades de l'ONU, la German Ocean Foundation avec laquelle est discutée une collaboration sur le projet Elbe en juin, le mouvement o'Clean à Hambourg.
Detlev Höhne, directeur de la marina Zollhafen Mainz, décrit la situation de la marina avant l'arrivée du Jellyfishbot : "Au cours des quatre dernières années, le niveau de pollution du bassin portuaire a augmenté. D'une part, cela est dû aux loisirs et aux pratiques nautiques des visiteurs, et d'autre part, cela est dû à la dense activité de construction autour du bassin, qui se poursuivra dans les années à venir. En outre, les changements forts et rapides du niveau d'eau du Rhin, qui se produisent depuis plusieurs années maintenant, ont provoqué une grande quantité de déchets plastiques, en raison du courant du fleuve."
La marina était à la recherche d'une solution compacte et pratique permettant aux opérateurs d'accéder aux zones difficiles d'accès du port (entre les bateaux, sous les quais et les dangles...). Lorsqu'ils ont entendu parler du Jellyfishbot, ils ont invité l'équipe IADYS en janvier pour tester le robot directement dans la marina.
Matthias Winkelhardt, directeur de la société de développement des douanes et des ports fluviaux de Mayence, soutient le projet : "Lorsque les chantiers sont fermés au bord de l'eau, il n'est pas toujours possible d'empêcher les déchets de pénétrer dans l'eau. Surtout lors de travaux d'isolation extérieure. C'est pourquoi nous soutenons l'exploitant du port de plaisance dans sa recherche de solutions environnementales."
Nicolas Carlési, fondateur et PDG de l'entreprise partage ses réflexions sur cette première vente sur le marché allemand : "Nous sommes très heureux de cette première vente sur le marché allemand. Depuis une dizaine d'années, l'Allemagne est l'un des leaders en Europe occidentale en matière de réduction des déchets plastiques. En utilisant le Jellyfishbot pour le nettoyage et l'entretien de sa marina, Mayence est un fer de lance et nous espérons que d'autres suivront bientôt".
Avec cette stratégie réussie, IADYS peut fièrement compter sur une implantation importante en Europe occidentale (Espagne, Allemagne, Suisse, Royaume-Uni, Finlande et Norvège), dans la zone Asie-Pacifique (Japon, Singapour, Taïwan et Australie), et commence à être présente à Dubaï et aux États-Unis.
Plus de 40 robots ont été adoptés indifféremment par des marinas, des ports de commerce, des chantiers navals, des sociétés privées dédiées à la collecte des déchets comme la SMA (Société d'Assainissement de Monaco) à Monaco, par des sociétés spécialisées dans la dépollution de sites industriels comme Serpol, et par une société pétrochimique privée. L'efficacité et la fiabilité du Jellyfishbot ne sont plus à démontrer. Dernièrement, des instituts de recherche en France et à l'étranger ont choisi d'acquérir un robot pour mener des recherches sur les microplastiques. Enfin, plusieurs parcs à thème et centres de loisirs commencent à être équipés. Par exemple, l'aquarium Yokohama Hakkeijima Sea Paradise utilise le robot pour entretenir ses plans d'eau mais aussi pour éduquer et sensibiliser son public à la préservation des côtes.
Avec son réseau actuel de distributeurs au Japon, à Taiwan, à Singapour, en Australie, au Royaume-Uni, en Finlande et en Norvège, en plus du réseau opérant sur le marché français, IADYS renforce sa position sur les marchés internationaux.
Les prochains mois s'annoncent prometteurs pour IADYS, avec des discussions en cours avec des distributeurs au Moyen-Orient, en Afrique du Nord, en Nouvelle-Zélande, aux Etats-Unis et au Canada.
"Le carnet de commandes se remplit rapidement, nous pensons atteindre notre objectif de 90 robots en service d'ici la fin de l'année, et la mise en place du deuxième niveau d'autonomie, avec détection d'obstacles mobiles cette fois, est prévue pour 2023", ajoute Nicolas Carlési.
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