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#Actualités du secteur
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L'UE demande à 4 états pour appliquer des règles sur les installations d'accueil gauches pour des déchets de bateau
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En son paquet mensuel des décisions d'infraction, la Commission européenne a invité l'Autriche, la Chypre, le Portugal et la Roumanie à transposer entièrement la loi d'UE sur les installations d'accueil gauches pour les résidus bateau-produits de déchets et de cargaison.
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Cette directive a modifié les règles d'UE qui exigent des bateaux d'informer un certain nombre de détails avant entrée dans le port, tel que les volumes et les types des déchets à livrer et de capacité de stockage à bord. Elle a également ajouté la condition de fournir des informations sur ce qui a été livré réellement pour mettre en communication des installations d'accueil dans le dernier port d'escale.
Pendant qu'informé, la directive a été adoptée dans l'ordre assurent la compatibilité avec des mesures admises au niveau de l'organisation maritime internationale (OMI) et pour éviter l'incertitude parmi les utilisateurs gauches et les autorités. Elle a dû être transposée dans le droit national avant le 9 décembre 2016, au plus tard.
Cependant, les pays mentionnés ci-dessus n'ont pas fait ainsi. Maintenant, les Etats membres ont deux mois pour remédier à de la situation, autrement, la commission peut décider de se référer les à la Cour de Justice de l'UE.
D'ailleurs, la commission a invité des Etats membres comprenant la Chypre, la Finlande, la Hongrie, l'Irlande, la Lettonie et les Pays-Bas pour transposer des règles sur le déploiement de l'infrastructure de combustibles de substitution.
Le but principal de la directive serait établissant un cadre commun pour la sortie de virage à grande échelle de l'infrastructure de combustibles de substitution en Europe. C'est essentiel pour réduire la huile-dépendance de transport, atténuer son impact sur l'environnement et livre, de ce fait, sur la stratégie pour la mobilité de Bas-émission adoptée par la commission le 20 juin 2016, comme expliqué par la commission.
La directive a visé des conditions minimum pour l'intensification de l'infrastructure de combustibles de substitution, y compris recharger des points pour des véhicules électriques et réapprovisionner en combustible des points pour le gaz naturel et l'hydrogène. Elle a dû être mise en application avant le 18 novembre 2016, selon la commission.
Cependant, les états de huit membres n'ont pas encore informé la commission des mesures transposant la directive dans le droit national. Ils ont été donnés deux mois pour informer la commission au sujet de telles mesures.
En conclusion, la commission a décidé de clôturer des procédures d'infraction contre la Belgique au sujet de l'organisation du travail aux ports belges.
En mars 2014, la commission a exprimé des inquiétudes que le système belge a fonctionné contrairement à la liberté d'établissement enchâssée en article 49 TFEU en limitant l'établissement des opérateurs gauches. De telles restrictions ont inclus l'existence d'un « régime de piscine » exclusif pour le recrutement des dockers, les restrictions au sujet du type de contrat de travail et la composition des équipes de travailleurs.
Depuis lors, et en raison du dialogue actif avec la commission, les autorités belges ont adopté un certain nombre de réformes adressant les restrictions et qui éliminera graduellement le régime restrictif.
On s'attend à ce que le nouveau régime contribue à la compétitivité des ports belges tout en offrant un niveau adéquat de la protection aux dockworkers.
La commission a déclaré qu'elle a l'intention de surveiller l'exécution et l'application correctes de la loi.